Siège social : 9 A rue de Normandie 67540 Ostwald France

contact : asmecassociation@gmail.com

+33) 07 67 85 98 31

 

 

Numéro Siret  909 205 999 00016

Afin de rendre ASMEC officielle auprès de l'Administration Camerounaise, le bureau exécutif de ASMEC représenté par son Président s'est rendu à Campo au Cameroun afin de :

- Présenter l'association au autorité locale, 

- Créer et légaliser l'antenne ASMEC CAMEROUN,

- Rencontrer le Médecin-chef du dispensaire afin de faire un état des lieux consistant à obtenir une actualisation situationnelle du dispensaire, de relever les besoins essentiels tant au niveau des populations cibles qu'au niveau des professionnels de santé afin de prioriser nos futures actions.

 

Et les besoins sont importants !

ASMEC est membre

Association de droit local

"Nous œuvrons déjà dans ce sens, en permettant aux plus démunis d'avoir une gratuité des soins, notamment en ce qui concerne la santé de la mère et de l'enfant, mais il reste encore beaucoup à faire"; a déclaré le Médecin-Chef du dispensaire de Campo Dr EDZAMBA Michel. 

 

Le dispensaire manque cruellement de tout, équipements, matériel médical, mobilier médical. Des difficultés qui rendent difficile le travail des professionnels de santé, et leur limite dans le diagnostique des maladies telles que la maladie du sommeil, la tuberculose, le paludisme, le HIV, les hépatites. Des pathologies dont les foyers restent encore très actifs dans la localité.

 

Notre souhait est de donner au dispensaire en priorité, les moyens efficaces pour la prise en charge médicale de ces populations. 

 

 

 

Par manque d'équipements dans le dispensaire et de suivi médicale, à cela s'ajoute l'éloignement de certaines populations du site du dispensaire, il y a déserte médicale.

En effet, les femmes ne vont plus consulter le médecin,  ni pour un suive obstétrical, prénatal, ni pour un accouchement. Elles préfèrent avoir recours à des pratiques de soins douteuses et archaïques qui parfois mettent la vie de la mère et de l'enfant en danger.

 

Les naissances ne pas déclarées, et des dizaines d'enfants grandissent sans identité.

 

Des avortements sont pratiqués clandestinement sans aucun suivi médical, ce qui n'est pas sans conséquence.

 

La maternité du dispensaire n'est plus fonctionnel depuis plusieurs années.